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parallel universe

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9 avril 2007

annif

tm_tulipes_01    

joyeux anniversaire maman !

tm_tulipes_01

tm_tulipes_01

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8 avril 2007

Ce Quon Voit Allee Rimbaud - P. Obispo

Ce qu'on voitderrière les grilles
C'est pas le sourire des filles
Ce qu'on boitdepuis le ruisseau
C'est pas le sangdu bordeaux
Ce que l'on voitderrière les nuages
C'est pas le grand paysage
De la faille du grand Canyon
Qui ne dérangeplus personne

Ce que l'on voit...Ce qu'on entend...De la pluie ou bien du vent
C'est une saison qui se perd
C'est l'enfer
C'est l'enfer

Ce qu'on entendsur les plages
C'est pas le grand cri sauvage
D'un poète de dix-sept ans
Qui vend des glacespour un temps
Y a pas de poèmessans je t'aime
Sans Rimbaudet sans Verlaine
Sans un cœur pursous la peau
Sans musiqueet des sanglots

Ce qu'on voit...Ce qu'on entend...De la pluie ou bien du vent
C'est une saison qui se perd
C'est l'enfer
C'est l'enfer

Ce qu'on voit...Ce qu'on entend...De la pluie ou bien du vent
C'est une saison qui se perd
C'est l'enfer
C'est l'enfer

8 avril 2007

anniversaire

Demain c'est l'anniversaire de ma mère, ma petite maman. Alors voilà :

Joyeux anniversaire !!

Maman, je t'aime,

Nous deux c'est une histoire sans fin,

Maman je t'aime,

Tu m'as toujours tendu la main.

Maman je t'aime,

Chacun de tes sourires illuminent mon regard

Maman je t'aime,

Tu as toujours veiller sur moi, chaque soir encore un peu plus tard

Maman je taime,

On court tous après on ne sait quoi...

Maman je t'aime,

Mais tu es mon guide à moi

Maman je t'aime,

Devant toutes ces pensées qui s'attardent

Maman je t'aime,

Si j'erre, si je pleure, jamais tu ne tardes

Maman je t'aime,

Et quand j'ai froid, quand je suis faible et loin

Maman je t'aime,

Je te retrouve toujours dans ma poitrine, dans un petit coin

Maman je t'aime,

Jamis je n'ai soufert d'absence d'amour

Maman je t'aime,

Merci pour tous es jours.

Manon.

8 avril 2007

JOYEUSES PAQUES !!

MaNgEz PaS tRoP dE cHOcOlAtS !!!

poussins_rafia

1 avril 2007

Aujourd'hui : poisson d'avril !

aujourd'hui c'est le poisson d'avril ! Dessinez tous un poisson, faites le avec beaucoup de couleurs laissez un message dedans et coller le a quelqu'un !

JOYEUX 1er AVRIL !!!

poisson_clr

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23 mars 2007

Dong du sang

www.dondusang.net

dondusang

C'est très très important d'aller donner son sang, pour sauver d'autres vies. Il faut le faire, il ne faut surtout pas hésiter ! Ce serait hyporite de garder tout pour soi, quand d'autres en ont besoin. Voila un bon moyen de s'entraider entres hommes. Ne pensez pas qu'à vous ! PENSEZ AUX AUTRES ! Merci.

Vous pouvez donner votre sang :

Si vous avez entre 18 et 65 ans (pas de 1er don après 60 ans)

Si vous pesez au moins 50 kg.

Si votre dernier don date de moins de 8 semaines.

Il ne faut pas :

Avoir voyager ou séjourner depuis moins de 4 mois dans une zone où sévit le paludisme.

Avoir accoucher depuis moins de 6 mois.

Avoir pris d'antibiotiques au cours des huit derniers jours.

Avoir fait un détartrage et autres soins dentaires au cours des trois derniers jours.

Avoir fait un tatouage ou un piercing depuis moins de 4 mois.

Avoir eu un nouveau partenaire sexuel au cours des 4 derniers mois, sans usage de préseratif.

Avoir été transfusé au cours de sa vie.

Avoir sejourné entre 1980 et 1996 plus d'un an cumulé dans les îles britanniques.

Avoir utilisé dans le passé de la drogue par voie intra veineuse ou nasale.

Il n'est pas nécessaire d'être a jeun avant le don. Il faut une pièce d'identité au cas où vous seriez un nouveau donneur.

www.dondusang.net

dondusang

20 mars 2007

pub

un peu de pub pour un pote

allez voir ses videos :

>> Saimone le frère de Marion <<

Breakdancer...

breakdance

20 mars 2007

on monday- superbus

I pack my bag, put it on my shoulders
Take my scarf, and kiss my mother
It's still dark outside
It's so early, I rub my eyes
I say Hi to the baker, I say Hi
I meet my friends at the coner of the street
and we talk and we laugh like every morning

On monday, on tuesday, On wednesday too
I'll always remember you

I sit down in the classroom
And look through the window
Open my bag, but I'm too slow
The teacher is yelling at me again for nothing
I don't care. The bell's ringing
I say Hi to the baker, I say Hi
I weet my friends at the corner of the street
And we talk and we laugh like every morning

On monday, on tuesday, on wednesday too
I'll always remember you

I say bye to the baker, I say bye
I've lost my friends at the corner of the street
And I cry, and I cry like every morning

On monday, on tuesday, on wednesday too
I'll always remember you

18 mars 2007

Un monde pour deux

   coverfeves

Il existait un monde merveilleux

Où tout allait par deux

Que de jumeaux, de paires à l’horizon

On ne se posait aucune question

Rien ne dérangeait tant que c’était respecté

Il ne fallait que de son double, personne ne soit séparé.

Mais un jour lointain

Vint à changer le destin,

Dans ce royaume aux cent mystères

Les créatures chantaient un drôle d’air

Tout semblait pourtant normal

Toute la nature, de l’homme à l’animal :

Ces deux rochers allaient de paire

Ces jumeaux étaient bien frères

Ils partaient même en quête d’amour

A ces jumelles, ils firent la cour

Deux beaux chevreaux s’amusèrent

Quand deux semblables loups les observèrent

Le palais symétriquement construit donnait une belle image

Celle d’un château double, un vrai mirage.

Deux rois régnaient du haut de leurs deux tours

Ils présentaient leurs lois à leurs deux Coures

Tandis que nos deux belles reines

Se maquillaient et discutaient sans gêne

Deux paysans, deux bouffons, deux princes et princesses

Deux forêts, deux objets, deux palais, couples de maladresse

Car l’un se trompait ou trébuchait

L’autre suivait et puis tombait

Ainsi était régie la vie

Au palais rongé par la monotonie.

Mais ce jour vint sur son cheval

Une Belle au teint pâle

Des longs cheveux noirs tombaient le long de son corps

Elle portait une robe aux couleurs de l’or

Sans être suivie par une moitié

Qui d’ordinaire, aurait dû l’accompagner

Elle était seule, parmi les paires

Et très mal vue par les vieux Pères.

Une seule jeune fille, un unique cheval

Pour le Palais, tout cela était bien mal

«    -    N’est-elle même pas honteuse ?

-         Qu’elle petite malheureuse !

-         Est-elle née ainsi ?

-         Quelle drôle de vie ! »

Et toutes les Grandes dames parlaient sur son sort

Elles se moquaient, et riaient bien fort

Mais sur cela une des deux Reines eut bien peur

Que son secret soit découvert dans l’heure

Car la pauvre amie qui ne parlait plus beaucoup

Avait subit un terrible coût !

Fort longtemps avant son règne, des années bien plus tôt

La demoiselle n’avait point mis au monde des jumeaux

Mais un seul fils dans une chaumière

Seul, sans aucun frère.

La honte l’aurait accablée

Mais par miracle apparut une petite fée

Elle lui promit alors, qu’il ne resterait pas seul, qu’il trouverait sa moitié

Qu’il deviendrait quelqu’un de grand, dans plusieurs années

Mais pour cela elle devait le laisser là

L’abandonner, le confier ici bas

Loin du Royaume où il aurait été châtié

Loin de ce monde qui n’aurait su l’accueillir ou l’aimer.

A contre cœur la pauvre mère partit

Et sans jamais l’oublier vécu sa vie

Ainsi était-elle la seule du palais

A rencontrer la Belle en paix.

Elle n’avait point d’arrières pensées

Elle voulait, de tous ces gens la protéger.

Ainsi retournait-elle quelques années en arrière

Elle aurait tant voulu être cette mère.

Voulant un peu racheter son crime

Elle consola la sublime.

Personne de la Cour ne comprenait

Les agissements de leur deuxième Reine, ses actes de paix.

Elle commençait à être mal vue

Tout comme la Belle qui s’en voulut

«    -     De part ma faute, ma Reine, tu t’attires des ennuis

-         Non, ma fille, j’aurais déjà dû assumer tout cela au début de ma vie.

-         Je ne comprends pas, mais par pitié ma chère,

Retrouver votre royaume, ne vous occuper point de mes affaires !

-         Je veux juste me faire pardonner

D’un passé, malgré moi oublié. »

Et la fée sur ces mots apparut

Quand la Reine n’y croyait plus.

La Belle, fort surprise, s’éloigna de quelques pas

La Reine une dernière fois la réconforta

Puis devant ses yeux émerveillés

La fée, d’un coût de baguette fit apparaître le fils tant aimé.

Il avait grandit, il était fort et beau

La reine pouvait retourner au château.

Un mois s’estompa,

Et personne jusque là

Ne sût dire ce qui c’était produit

Car la Reine, pas un mot ne dit.

Mais un jour tout à fait ordinaire

Vint bouleversé le monde des paires.

Se tenant tous deux la main

Arrivèrent la Belle et le Prince sur le chemin

Tous deux se présentèrent à la Cour

Devant le roi comme ils l’avaient prévu l’avant-jour

Et tous deux parlèrent ensemble, à l’unisson

Et déballèrent un discours bien long.

Il fallait vivre à deux dans ce cruel monde

Alors devant les divines ondes

Ils racontèrent leurs aventures :

Nés ainsi et rejetés de l’autre bord de ces murs

Ils grandirent seuls chacun de leur côté

Toujours aidée par ces bonnes fées

Mais comme en avait été prévenue la Reine

Son fils aîné, trouverait sa moitié sans peine

En effet, ensemble, ils vinrent se présenter

Comme un couple, car ils s’étaient enfin trouvés.

Tout le monde écoutait attentivement

On admirait ces jeunes enfants.

Il fallait avoir beaucoup de courage

Pour donner une telle image,

Mais la Reine était si fière

Qu’elle reconnut là, la plus belle des paires.

Le fils avait enfin levé sa malédiction

Et remercia la fée de ce merveilleux don :

Il épousa la Belle, un jour où le vent caressait les âmes

Elle fut, elle, la plus heureuse des femmes.

Ainsi pour la centaine d’années à venir

Ils vécurent heureux et se donnèrent un bel avenir

Ils devinrent à leur tour Roi et Reine

Et bannir, hontes, préjugés et cette grande haine

Qui parcouraient autrefois tout le Palais

Laissant place à une gentille et douce paix.

La morale nous dira encore une fois

Qu’il faut tolérer les autres, quelqu’ils soient

Qu’il ne faut pas juger ainsi autrui

Car dans la vie, tout peut arriver à n’importe qui

Il faut être vigilant, et surtout bon et complaisant

Il ne faut pas châtier le plus faible, le paysan, le différent.

Elle nous apprendra qu’également

Chacun peut trouver son autre dans le temps

Que le mythe d’Aristophane est peut-être fondé

Et que chacun finit toujours par trouver – quelqu’elle soit – sa moitié.

Manon

coverfeves

18 mars 2007

L'ami loup

loup_canis_lupus_9

Je dois assouvir la folle envie

Que j'ai d'écrire, ma grande passion.

Un jour peut-être sera-t-elle toute ma vie ?

Je me pose souvent la question.

Poète, écrivain, ou charmeur

Qu'elle est la différence

Subtile soit-elle, il est enfin l'heure

De vous conter mon histoire avec patience.

Je vivais dans ces contrées lointaines

Appelées étrangement "étranges"

Quelle est cette envie soudaine ?

De qualifier de telle sorte la Vallée des Mésanges ?

De quoi ? Pardon ? Pourquoi ce nom ?

Excusez moi, je ne trouvais point d'autre rime

Maintenant ne me posez plus de question

Sur ces détails infimes.

Je disais donc que ma contrée,

Cachait bien des mystères

Dont seules les fées

Connaissaient l'air.

Il s'y passait des choses inexpliquées, inexplicables

Mais la raison ici n'aurait pu triomphé

Une fantaisie remarquable

Possédait toute pensée.

Un bûcheron vint couper son bois

Naturellement puisqu'il était bûcheron

Mais il vint alors cette fois

Couper quelques buissons.

Une vielle femme dans sa chaumière

Au lieu de clamer ses dernières prières

Près du feu dansait de plus belle

Comme quand elle avait vingt ans, éternelle.

Son petit fils mettait les robes

De sa soeur courrant dans la boue

Nous découvrîmes alors à l'aube

Que le charme du contraire, se jouait forcément de nous.

Mes deux fils et moi

Allâmes chercher les fées

Dans leur grotte hors des bois

Celle la plus retirée.

Mais là le spectacle en fut effroyable,

Elles chantaient et se divertissaient

Avec tous ces petits diables

Elles même perverties, qu'allait devenir le palais ?

J'envoyai alors mon premier fils

Au royaume le plus lointain

Il revint sans aide, il jura qu'on en finisse !

Mais là, heureusement, n'était point notre destin.

Les mystères étaient enterrés plus bas

Dans les terres profondes

Je m'en souvins, c'était là-bas

Là où naissaient les divines ondes...

Une seule nuit il me fallut

Pour atteindre notre dernière chance

Je couchai mes fils dans la charrue

Et je m'en allai dans cette profondeur immense.

Qu'allai-je trouver mes chers enfants ?

Ce voyage fut remplit d'aventures

Mon pas était peu être lent

Mais jamais n'oubliais-je mon futur.

Je croisai alors Cerbère

Mais je devais aller plus bas

Le monstre des Enfers

Lui-même chantait le trépas.

Je touchai enfin à mon but

Pour cela nous devions nous jeté dans ce trou

Et dans cette terrifiante chute

Nous pourrions défier le Loup.

Si nous charmions l'être cruel

Les éléments seraient rétablit

A la condition seule de l'Eternel :

Chacun devait garder la vie.

Et sous l'oeil de la Renommée

Nous sautâmes après l’avoir accepter.

Et nous trois atterrîmes à point nommé

C'était là, l'heure du dîner.

Nous nous installâmes à table

Le Loup dans son antre nous convia

Etrange, mais nous sommes encore dans la fable

A table cordialement nous invita.

Nous mangeâmes, mais par ses cris très désagréables

Mon petit dernier irrita la bête

Que faire pour calmer l'aimable ?

Nous le conviâmes alors à une belle fête.

Il nous dit qu'il accepterait d’y venir sous une seule condition

Les festivités devaient se dérouler en haut ;

Nous acceptâmes sans aucune question

Et tout le monde devait l'accepter en héros.

Personne ne devait le craindre, pas le moindre enfant

Aucun animal

Pas même les parents

Il ne devait être prit pour le Mal.

Nous repartîmes alors vers notre belle contrée

Mais la folie avait tout envahit

Encore les fées

Chantaient à l'infini.

Nous réunîmes tout le peuple, fées et monstres

Dans la plus grande salle du palais,

Mais il apparut monstre

Parmi tant d’autres dans la paix.

Personne ne s’aperçut

Qu’il était alors dangereux et cruel

Il était bien reconnu

Comme les autres, même presque frêle.

Puis toute la nuit nous nous amusâmes

Avec notre aimable invité

Qui se révéla être une belle âme

Autrefois rejetée…

Et l’Eternel reconnu la victoire

Tout redevint à l’origine

Ainsi s’achève notre belle histoire

Sur le respect unanime.

Jadis nous rejetions les effrayants, les êtres laids

Aujourd’hui nous avons bien appris

Que le respect et l’acceptation font la paix

Que la tolérance change l’esprit, et peut changer la vie.

Ainsi petits enfants retenez bien

Que les apparences ne sont pas toujours ce qu’elles sont

Et sachez que parfois le malin

Se trouve là où personne ne l’attend, chez vos proches même dans vos maisons…

Manon.

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